L’homme est le seul animal qui porte des bretelles. C’est ce qui le distingue nettement du boa.
Création 2016 Tout public, à partir de 12 ans Durée : 1h10
Textes : Alexandre Vialatte De et avec : Marc Compozieux et Alexis Gorbatchevsky Regard extérieur : Hélène Zanon Lumières : Margot Falletty Diffusion : Audrey Charrière (Association l’Écluse) Photos : François Soulat
Soutiens et partenariats : Théâtre du Grand Rond (Toulouse), Le Tracteur (Cintegabelle), Centre culturel de Ramonville, Théâtre de la Brique Rouge (Toulouse), CMCAS Toulouse, Association L’Écluse
Deux personnages en bretelles et charentaises font irruption sur scène. Ils semblent jumeaux ou, du moins, ils sont reliés l’un à l’autre. Un Alexandre et un Vialatte. Ils évoluent d’une manière surprenante et précise dans un univers rectiligne où tout paraît droit, mais rien ne l’est vraiment. L’endroit idéal pour nous faire entendre des textes d’Alexandre Vialatte, issus des Chronique de la Montagne, du Bestiaire ou de l’Oiseau du mois. L’un dit, l’autre écoute. L’un commence, l’autre finit. Tous deux donnent soudain vie à un étonnant cheval de course. Quelques vignettes musicales, décalées elles aussi, viennent ponctuer le parcours inattendu de ces deux olibrius. Vous êtes chez monsieur Vialatte, vous voilà prévenus…